Syndrome démonopatique de double personnalité



José Antonio Fortea Cucurull

Préambule

Mon propos, avec cet écrit, n'est pas un autre que de faire une description et une analyse d'un syndrome qui, par son incidence, presque nulle, n'existe en aucun livre de psychiatrie, lorsqu'il affecte un patien, on apprécie avec clarté, de part des spécialistes qu'ils ne s'adaptent à aucun des schèmes existents aujourd'hui pour cataloguer les pathologies psychiatriques. L'auteur de la présente étude psychiatrique ne prétend convaincre personne de la supposée éthiologie de caractère spirituel que les théologiens imputent à ce phénomène qu'ils appellent possession démoniaque.

L'analyse, que je vais faire dans cette exposition(première analyse des caractéristiques générales de cette afection et puis, la description d'un cas particulier) elle devrait nous mener à la conclusion que l'on agit d'une pathologie "sui generis" et d'une classification spécifique dans les traités de psychiatrie. S'il ne se faisait pas de cette façon, ses caractéristiques descriptives seraient désagrégés des critériums diagnostiques d'autres maladies. Je parlerai de ce syndrome avec le nom de possession, dans les pages suivantes.

La description de ce phénomène sera psychiatrique et elle sera fixée d'une manière exclusive dans l'exploration medicale, on omettra la description des phénomènes les plus extraordinairs qui viennent anexes à ce phénomène dans la littérature générale sur ce thème. Ce phénomène va être analysé dès le point de vue psychiatrique, j'en parlerai seulement comme maladie. Je n'entre pas en discussion sur le fait d'élire entre le mot phénomène ou pathologie, cela supose déjà une prise de position.

Nous tous avons écouté des commentaires génériques de ce qu'il avant se croyait être possession, maintenant on sait qu'en réalité c'est une maladie psychiatrique. Quelle maladie? La possession, comme elle apparaît dans la littérature sur le thème et dans les cas actuels que l'on dit possession, elle présente un cadre diagnostique assez concret. Pour savoir de quoi nous parlons, il convient de présenter le critérium diagnostique de ce que nous pourrions nommer possession typique: 1.- devant le sacré ou le réligieux il existe une quantité de sensations qui vont, selon le sujet, dès le dégoût à l'horreur, dès la lève expression du malaise à la manifestation de colère et de furie.2.- Dans ces cas les plus extrêmes, l'horreur mene à des accès de furie accompagnés normalement de blasphèmes dirigées vers l'objet réligieux, qui s'est posé à la proximité. 3.- Le malade aux épisodes aigus de manifestation de colère furieuse, perd la conscience. Quand il la récupère il ne rappelle rien. L'amnésie est totale et absolue. Mais, même s'il ne rappelle rien pendant l'épisode, il a apparu un changement pendant cette cryse de furie, et une deuxième personnalité a toujours un caractère malin. C'est fréquent que pendant ces moments les prunelles se retournent en haut, ou en bas, les yeux en blanc.

Les muscles faciaux se mettent fréquemment en tension. Les mains montrent aussi de crispation. Dans ces moments de cryse, la personne articule une voix pleine de haine et de fureur.5.- Après la cryse furieuse, la personne retourne lentement à la normalité et c'est pratiquement semblable quant au temps et à la manière, au passage qui s'observe du retour de l'état d'hypnose à l'étet normal de conscience. 6.- Hors la cryse furieuse dans laquelle la deuxième personnalité émerge la personne porte une vie normale, et elle n'affecte ni à son travail, ni à ses rélations sociales. Le sujet apparaît comme une personne parfaictement sage. En tout moment il distingue entre réalité et le monde intrapsyquique, il n'observe pas un comportement délirant. 7.- En quelques cas, ils voient des ombres. Ils sentent une sensation étrange dans quelque pars du corps ou ils écoutent des grincements. Au contraire! ils n'écoutent pas de voix internes.8.- On n'observe quelque antécedent familier qui puisse penser en pathologies mentales comme fond génétique. Il faut ajouter qu'on ne peut pas considérer dans ce champ de la possession les cas où le sujet dit de sentir une présence.

À la plus part de ces cas, ces phénomènes de possession se produisent après avoir participé en quelque type de rite éxotérique: ouija, pratique de spiritisme, macumba, vudú,etc. Ces personnes souffrent des allutinations sensorielles avec une thématique très précise, mais ils ne se voient pas affectés par aucun type de délire. Au contraire, il y a une totale absence de construction pathologique des idées qui pourront justifier ce type de troubles expliqués dabs les huit points antérieurs.

Le patien soutient un raisonnement clair et il se montre critique sur les symptômes que lui-même décrit au médecin. Il est très fréquent qu'il commence son exposition avec le spécialiste avec les mots"vous allez penser que je suis fou", "vous n'allez pas me croire" ou "je nesais pas par où commencer". Le même patient est le premier à reconnaître que son discours va pas être cru. Le malade situe parfaictement dans le temps, le commencement de ses bouleversements, et il réfère comme cause d'eux la participation de ce rite éxotérique. Quand on dit de quelqu'un qu'il est un psycotique, il y a la possibilité de différentes définitions.

La plus limitée de psychotique se rapporte à des illusions ou allutinations avec absence de connaissence de sa nature pathologique. Comme voit, ce type de patiens ne s'adapte pas au concept de sychotique, puisqu'ils ont une continue conscience critique vers les désordres qu'ils racontent. Nous pourrions dire que la possession a quelque aspect en comun avec l'eschizophrénie de type paranoïde dans laquelle il ya la présence de notables illusions ou allucinations dans le contexte d'une relative préservation de la fonction cognitive et afective.

Le facteur prédominant sera le fait duquel aux moments de la plus grande furie où émerge la deuxième personnalité de tous les signes. le patien souffre un désordre dissociatif de la personnalité. La présence d'une identité distincte qui prend le contrôl sur le comportement de la personne entre pleinement dans la description de cette pathologie de la dissociation. Cette deuxième identité apparaît toujours avec des traits très fixes: il parlera avec rage, avec colère, en train d'exposer une grande haine vers la réligion. Il parlera avec une expression faciale d'une grande tension. Cette deuxième identité est bavard et il manifeste une grande procacité dans son vocabulaire et des expression blasphèmes.À d'autres patiens cette deuxième identité est presque muette et d'une manière extrêmement laconique. Ses interventions chargées de haine et de tension ont en comun avec le type antérieur une voix qui change par effet de cette colère contenue.

Si nous parlons de la généralité des pathologies de personnalité multiple, on assume un deuxième rôl d'une manière inconsciente, fruit de la profonde assimilation inconsciente de cette deuxième personnalité. Alors la promptitude et la cohérence de réponses appropiées, arrivent. Mais il faut noter que dans les malades de possession cette deuxième identité. présente toujours les mêmes traits, malgré la division en deux types déjà cités (personnalité bavarde ou muette). Quels sont ces traits? Cette deuxième personnalité se manifeste aux moments de furie. qui produiront l'amnesie de ce qui a été dit et réalisé pendant la crise. Cette deuxième personnalité est toujours méchante. Et, finalement, elle manifeste une terrible aversion à tout le sacré (personnes, objets ou mots).

L'horreur que les possédés sentent vers tout le sacré ne supose aucune phobie spécifique. S'il apparasait comme symptôme illé complètement délié à tout le cadre de symptômes qui accompagnent ce syndrome, serait clair que ce régret ne provoque pas d'anxiété, mais il est une réaction automatique de colère. Le possédé ne manifeste pas une anxiété provoquée par une exposition à n'importe quel objet, personne ou mot sacré. Mais cette exposition est cause d'émergence de la deuxième personnalité. S'il n'existe pas de phobie ce repoussement ne provoque non plus aucun désordre obsessif- compulsif, non plus ce repoussement donne lieu à aucun type de rituel d'invitation (utilisé ici le mot rituel au sens psychiatrique, parce que au thème que nous traitons, l'éclaircissement n'est pas inutile).

La pensée en tout moment (sauf au moment de trance) est claire et c'est une autre caractéristique qui attire l'attention des spécialistes qui attendent ces patiens: la clarté de pensée, la capacité d'autocritique existent avec les autres traits pathologiques qui à cause de leur gravité devraient mener une évolution vers une profonde désestructuration de la personnalité et du raisonnement. En résumé, si le psychiatre ne savait rien de possessions, les symptômes qu'il observerait dans un possédé le conduiraient à voir en lui un désordre dissociatif de la personnalité qui provoque des allutinations sensorielles, une aversion aiguë au sacré uni à des agitations propres d'une cryse hystériforme.

Comme on voit, un complexe conjoint de symptômes, tous au même sujet se manifestent au même temps. Ils nous conduisent à réjéter les classifications simples de ceux qui n'ont pas vu un cas réel et ils disent qu'il s'agit de telle ou telle maladie. Le cadre symptômatologique ici défini manifeste un syndrome si spécial qu'on ne peut pas le mettre dans un lieu de la pathologie sychiatrique. Il faut admettre que nous nous trouvons non seulement face à un désordre simple, mais face à un syndrome poue lequel il faut chercher un lieu spécifique dedans la catalogation médicale.

Par conséquent, c'est totalement impropre de parler de ce fait comme schizophrénie, ou sychose, et beaucoup moins comme épilepsie, parce que le cadre entier on ne peut pas l'introduire dans la catalogation de chaqu'une de ces maladies. Des questions terminologiques: Le DSM offre un glossaire de syndromes rélationnés à des cultures etniques déterminées, à la page 849 apparaît le mot "Tsar" auquel on lui donne les suivants définitions descriptives: un mot général d'Éthiopie, Somalie, Egypte, Sudan, Iran et d'autres sociétés du Moyen Orient l'experience appliquée d'esprits que ici possèdent une personne. Les personnes possédées par un esprit peuvent montrer aphatie, elles refusent de manger, ou de faire les travaux quotidiens, ou elles peuvent développer une rélation de longue durée avec l'esprit qui les posséde.

Mais beaucoup plus important que ce mot qu'il faudrait soubligner, Le DSM, au numéro 300.15 dédié aux désordres non spécifiqués d'une autre manière (pag. 490) agit d'une manière confuse et mélangée avec d'autres désordres, le cadre qui s'est présenté ici d'une manière précise. C'est intéressant d'observer les catégories montrées par des spécialistes quand ils classifient le syndrome que j'ai décrit (et de ceux desquels ils seulement ont eu des références), comme une simple dissociation lorsque le même DSM, devant l'évidence de cas connus remarque qu'il y a des cas qui échappent aux critériums donnés pour quelque type de désordre de dissociation.

Soit que ce soit, il faut convenir que la classification en d'autres catégories jusqu'aujourd'hui existentes, il est de couper le phénomène de beaucoup de leurs élements spécifiques. Par conséquent c'est plus appropié de créer un mot spécifique pour une réalité déterminé. Il ne suffit pas de dire que c'est une pathologie démonopathique, car il y a les désordres psychiatriques auxquels le malade croit être un démon, ou que la personne avec qui habite s'est transformée en un démon, ou qu'il écoute des vocables de démons,etc.

Il ne suffit pas non plus, quand on dit que c'est une simple dissociation de la personnalité, puisque la dissociation, ici décripte, présente un cadre trop "sui generis" sur les caractéristiques qui l'accompagnent (vgr. une phase convulsive sans perte de conscience, une phobie exacerbée au milieu d'une crise d'apparience hystériforme). Cépendant, cette dissociation de la personnalité est seulement un symptôme diagnostique le plus spécifique de la possession. Pour ça, je crois qu'en psychiatrie le mot le plus appropié serait, comme j'ai dit avant, syndrome démonopathique de dissociation de la personnalité . Sont compris dans le mot "syndrome" toutes les phobies spécifiques et les autres aspects desquels j'ai parlé. Je crois que de tous les mots, c'est le plus descriptif de ses caractéristiques essentielles.

L'adjetif "démonopathique" désigne le thème avec lequel elle fréquente la maladie, et il est nécessaire le mentionner pour éviter des confussions avec le terme désordre de trance de dissociation. Il serait confus avec d'autres cas, parce qu'il y a des trances (par exemple les hypnotiques) dans lesquels il peut se produire cette dissociation temporelle. Quand on ajoute le mot de dissociation personnelle c'est aussi nécessaire. En plus d'être la caractéristique la plus patente dans cette maladie, elle nous aide à ne pas confondre cette pathologie avec d'autres auxquels le malade croit être possédé, mais dont le cadre est clairement schizoïde. Le schizoïde présentera, peut-être, un cadre histrionique, un cadre obsessif et sa pensée apparaîtra désestructurée, caractéristiques radicalement différentes au cadre que présentent les affectés du syndrome déjà décrit.

Analyse d'un cas concret: L'étudiante d'un cours d'université avait suivi normalement une vie, et ne présentait pas le plus petit problème sychologique. Tout à coup, cette jeune fille qui n'avait montré aucun intérêt, ni approchement vers le monde éxotérique, démoniaque ou de spiritisme, elle commence à souffrir une aversion inexplicable vers les prières que sa mère récitait toujours à sa maison. La mère était une personne très religieuse, mais normale. La jeune fille était religieuse bien que modérée et elle n'exposait aucune caractéristique anormale dans sa pratique. La mère reste très surprise par la répulsion subite qui apparaît dans sa fille vers n'importe quel type de prière qu'on réalisait à la maison auquelle la fille ne participait pas. 

Depuis le jour de cette aversion subite des épisodes d'état psychique apparaîssent et ils n'ont aucun type de pas préfixés qui les préparent. La jeune fille, quand elle se réveille souffre d'amnesie totale de ces épisodes d'état psychique. Les semaines suivantes, ils seront suivis d'épisodes de furie, cris et agitations très violentes sur le plancher ou sur le lit. Pendant ces agitations et états psychiques la jeune fille a les yeux fermés, mais si elle les ouvre, ils sont en blanc. Tous ces épisodes mènent la mère à demander de l'assistance religieuse pour sa fille. L'évêché de son lieu de résidence demandera que sa fille soit examinée psychiatriquement. Les deux médecins psychiatres qui l'examinent, trouveront une jeune fille qui à son examen ne manifeste aucun signe d'anormalité psychologique. Les relations sociales n'ont pas été altérées, et son travail à l'université non plus. 

Les faits que sa mère amène se soutiennent dans le plus absolu sécret, au circle des amitiés et familier. Même les faits dont la mère est témoin, la même fille ne peut pas les raconter aux psychiatres qui l'examinent parce qu'elle ne les connaît pas. La fille souffre d'amnesie de ce qu'elle a réalisé en état psychique parce qu'elle souffre un désordre de personnalité, ou bien la mère les a distorsionés ou inventés. Cépendant un troisième témoin de ces états psychiques qui finissent en crises furieuses dans lesquelles émerge la personnalité pernicieuse, elle convainc les psychiatres de la véracité de ces épisodes d'état psychique. Le troisième témoin de ces épisodes apparaît quand la mère convainc sa fille d'aller voir le curé. Lorsqu'il l'a bénie d'une simple bénédiction, la fille au moment s'est renversée par terre de l'église au milieu de furieuses agitations et des cris. Le cas est complexe, car il n'apparaît rien qui fera douter de la parfaite santé psychologique de la jeune fille, sauf ces épisodes dissociatifs desquels il y en a deux témoins; les psychiatres ne peuvent pas provoquer ces épisodes, et par conséquent ils en ont seulement des références sur la jeune fille.

Lorsqu'ils l'examinent, elle ne manifeste ni d'allucinations ni délire, ni une préocupation sur le thème démoniaque non plus. Cet affaire se dépêche comme une suggestion induite par sa mère. Une suggestion inconsciente. La jeune fille suit une vie normale et elle ná pas de problèmes qui puissent servir aux psychiatres pour commencer quelque type de thérapie ou traitement. L'auteur du présent article a analysé pendant neuf mois ce cas et il a affirmé la version de la mère. La jeune fille manifestait une psychologie complètement normale et elle ne montrait pas de contact psychotique en aucun moment. Mais il suffisait de la mettre en contact avec déterminées prières, pour que d'une manière automatique, elle entre en état psychique, et après la deuxième personnalité de caractère pernicieux émergerait, finalement, elle commencerait une phase de convulsions terribles et violentes, accompagnées de cris forts et retentissants.

Le syndrome démonopathique de dissociation de personnalité est accompli dans cette jeune fille en toutes les circonstances décrites en d'autres pages: la sucession dans ces épisodes d'etat psychique de moments de calme et d'autres de furie; la prolongation de ces épisodes le temps qui continuéront les prières ( bien qu'il soit pendant trois heures); les caractéristiques faciales (tension musculaire, yeux en blanc); les caractèristiques de cette deuxième personnalité déjà expliquées. On ne peut offrir la solution de ce cas, ni son final, parce qu'elle le souffre encore et parce que son évolution a été nulle. 

La jeune fille souffre ces épisodes depuis trois années et il n'y a aucun changement à la fréquence des états psychiques et ses manifestations dissociatives. Six professeurs ont examiné ce cas. Trois manifestent leur conformité avec les principes généraux ici exposés et trois considèrent cette jeune fille comme un cas de désordre de personnalité. Cinq de six psychiatres ont considéré que les exorcismes finiraient le mal que souffrait la jeune fille. Trois psychiatres parce qu'ils considéraient que son éthiologie n'était pas psychiatrique, et deux parce qu'ils ont considéré que l'exorcisme aurait un effet d'expulsion du mal et ils n'ont pas éclairci très bien quels mécanismes de la psyché sont ceux qui provoquent cette "guérison".

L'auteur de cet écrit, en cinq années de réceptions de patiens, seulement a trouvé quatre cas qui avaient le syndrome décrit. Après examiner centaines de personnes possédés montre que l'incidence de ce syndrome est très petite et chaque cas peut être considéré exceptionnel.
Une des raisons par lesquelles ces cas doivent être considérées une pathologie "sui generis" c'est parce que aucun type de traitement pharmacologique n'a offert aucun résultat.

Les thérapies non pharmacologiques n'ont obtenu aucune amélioration non plus en ce type de cas. On raconte beaucoup de cas ( en Italie et aux États Unis) dans lesquels les affectés de ce syndrome sont guéris après les prières liturgiques de l'exorcisme. Quelques psychiatres ont accepté la possibilité de cet effectivité thérapeutique . Ils disent que ces prières liturgiques peuvent déchaîner un procès d'expulsion du mal à travers un environnement qui convaicra le patient de ce qu'on lui offre, une spèce de "catarse". L'exorcisme dans ces cas-là serait une thérapie psychoanalitique.

L'étude concret de chaqu'un de ces patiens supposerait une désestruturation très profonde de l'intellect du patient, si profonde, si radicale, d'éclosion, si subite qu'il ne paraît raisonnable que. d'une manière rituelle du mai il pourra être guéri.

Conclusion: Il n'y a pas de champ de la psychiatrie comme celle que nous venons d'étuder, auquel les schèmes préconçus du étudieux conditionnent d'une manière plus évidente, les chemins d'explication de ce syndrome ici décrit. Ces schèmes préalables supposent déjà un point de sortie de celui où sortiront des explications en directions opposées. Selon l'opinion de chaqu'un sur l'éthiologie du cadre décrit, une définition plus claire des traits de ce syndrome sera un fondement objectif pour discuter sur les causes et la thérapie à suivre dans ces cas. On ne peut pas suivre à écrire et à parler sur ce thème sans invoquer des cas concrets. 

Toutes les explications qui sont faites de cette matière jusqu'à maintenant ( si l'on parle de patiens qui croient être possédés ou de dissociation de personnalité) peuvent être d'une grande valeur et même brillantes. Nous ne parlons pas de la même chose. Des études postérieurs académiques mettront en rélief la singularité et la particularité de ce syndrome. Ces études seront un terrain commun pour la discussion de ces cas-là.

Apéndice

Psychiatrie et Théologie

Le travail antérieur a agit la seule psychiatrie, maintenant je voudrais ajouter quelque chose en rélation à des champs extrapsychiatriques.

Tous les psychiatres jusqu'à maintenant, ont l'invincible impression que la version officielle dans la psychiatrie est de nier la spécifité de ce syndrome que j'ai décrit. Je parle de la spécifité, puis que, accepter le caractère sui generis de ce type de cas, ne suppose pas avoir accepté son éthiologie surnaturel. Il faut être clair que des athées et des agnostiques peuvent accepter le cadre décrit avant sans avoir à accepter des causes extramentales à son apparition. Tous les psychiatres ont l'impression que la vérité dans la psychiatrie est de ne pas approuver l'existence de cas qui confirment le syndrome sui geneirs qui résiste tout thérapie. Il faut rappeler que c'est une impression fausse dans la théorie. Le DSM décrit les traits qui apportent l'organisation des pathologies en catégories déterminées. Les auteurs affirment la possibilité de l'existence de quelque cas extraordinair qui pourra échaper aux catégories décrites.

Quelqu'un peut ne pas admettre l'existence des esprits. Mais il faut être d'accord dans les champs des critériums diagnostiques de ce syndrome. Celà doit être commun pour tous. Ce champ est objectif et externe. Les psychiatres envoient, quelque cas de possession aux prêtres, même aux États Unis et en Italie. La plupart des cas sont envoyés par la famille du patient aux prêtres.

En d'autres cas, les spécialistes parlent de forme privée avec le prêtre, et lui remettent le cas. Ici, en Espagne, j'ai eu une patiente qui est venue avec un informe psychiatrique de la Sécurité Sociale, on disait par écrit que cette femme-là ne présentait aucune pathologie mentale et qu'il convenait de la voir un expert de l'Église en matière d'exorcismes.

Les psychiatres remettent des cas aux prêtres mais ils veulent maintenir le secret pour ne pas perdre le prestige devant leurs collègues. Ce secret prive de la possibilité d'une étude publique des cas qui existent sans souffrir les protagonistes en leur considération professionnelle. Ils ne veulent pas affirmer qu'une possession soit guérie par une prière. Faire de notaire de cette réalité suppose affronter des situations professionnelles très incommodes. La vérité officielle pèse beaucoup, la réalité est une autre il y a plusieurs années.

L'appel de part des spécialistes de la pschyatrie à des prêtres, c'est une réalité. Et malgré le secret, le syndrome déjà décrit est guéri d'une simple prière (quoiqu'ell ait une extension d'heures et divisée en plusieurs séances). Les psychiatres louéront le travail réalisé par les prêtres, les féliciteront par la résolution soudaine du cas qu'ils leur ont apporté, après des mois infructueux et ils leur prieront de garder une totale réserve de son nom.

À tout celà on peut ajouter les multiples témoignages de phénomènes préternaturels ( glossalalie, xénoglosse, connaisance télépathique des ordres donnés par l'exorciste, vomissements d'objets, et même quelque phénomène de lévitation), témoignages étranges au environnement familier du patient. Alors c'est évident d'approfondir les racines en ce que les grecs ont appelé pnéuma, et les romain spiritus.

Par conséquent, ce n'est pas une pathologie, mais un phénomène. Voici le véritable problème qui a perverti l'étude de ce thème: l'existence ou pas de l'esprit. Si l'esprir existe. la possession est un phénomène, s'il n'existe pas, c'est une pathologie. Si seulement existe le mensonge, tout ce que nos avons dit avant devra être expliqué par les catégories simplement pathologiques. Celà est admis par l'auteur de ce travail. Mais si nos admettons l'existence de l'esprit, dès ce moment on admet la possibilité d'un phénomène qui va plus loin de la psychiatrie.

C'est évident qu'un psychiatre ne voit pas ce thème de la même manière que celui qui va à la messe et de communion tous les jours. Mais la desqualification personnelle du spécialiste croyent est absolument hors de lieu, comme s'il était une espèce de fanatique. Soient qu'ils en soient les qualifications et conclusions auxquelles arrivent les studieux de ce syndrome dans ce siècle qui vient de commencer, j'ai la confiance qu'au moins, les spécialistes en double personnalité commenceront le travail. Ce travail n'a pas commencé par les lests idéologiques que les prédécesseurs ont traînés. Les schèmes matérialistes procédentes du XVIIIème siècle, non seulement ont vicié la manière d'envisager ce phénomène, mais ils n'admettaient non plus la possibilité d'étudier quelque chose qu'ils considéraient impossible. Ils ont désagregé et partagé cse traits qu'ils voyaient dans le patient à travers les différentes catégories de la pathologie psychiatrique. Ils n'ont jamais pensé que ce qu'ils avaient entre leurs mains était une catégorie différente des connues, car admettre celà, c'était trop pour eux.

Mes analyses psychiatriques sur cette matière aux dernières années n'ont pas été trop méritoires, puis que seulement j'ai examiné un des sécrets les plus bruyants de la psychiatrie internationale :l'existence de ce syndrome et le recours au prêtre d'une manière extraofficiale. Quelques-uns surprenent que cette "pathologie" a été définie par un théologien et non par un médecin. Mais peut-être, les choses devaient être ainsi, parce qu'un médecin serait trop retenu à la pression de l'ambience.

Quelqu'un étrange au système devrait découvrir ce qu'il arrivait au monde psychiatrique. La clameur de ce qui arrivait n'était pas le nombre, mais la vérification de leur singularité et l'objectivité de leur guérison d'efinitive par des moyens si peu orthodoxes. Je crois que les prochaines années importeront de nouvaux études qui offriront plus de lumière sur ce que j'ai ici exposé.

MOYEN ÂGE: Épilepsie et possession.

Quand on parle de possession, c'est de la confondre avec l'épilepsie. Dans les convulsions de l'épilepsie il peut apparaître de l'écume sur la bouche; les prunelles se renversent, les yeux en blanc, cépendant c'est indispensable d'insister qu'on perd la conscience. Le seul bruit qui peut apparaître à ces moments-là est, seulement l'effet de le spasme de la glotte. C'est important ce fait. Au Moyen Âge on confondais l'épilepsie avec la possession. L'abondante littérature sur ce syndrome laisse toujours la preuve des conversations de la deuxième personnalité pendant la crise de furie. Les psychiatres du Moyen Âge connaisaient ce fait. L'analyse profond des centaines de cas des siècles passés, nous mène à la conclusion que ces cas se référent à un seule type de syndrome parfaitement déterminé en ses caractéristiques. En outre, bien que la possession est un phénomène que nous associons toujours à l'époque médiéval, les cas enrégistrés par les chroniqueurs ne sont pas plus nombreux à cet époque-là, qu'au XVIIIème, ou XIXème.

Les espasmes musculaires aigus de l'épilepsie ne sont jamais aussi prolongués que ceux de la possession. La phase d'agitation y peut se prolonger plus de trois heures. En plus, les crises de violence pendant les exorcismes n'ont rien à voir avec les distinctes phases toniques et cloniques de l'épilpsie. Dans les exorcismes, le possédé a une évolution lente qui tend à la contraction des muscles. Ça n'est pas la perte de la conscience, mais une conscience différente émergera du possédé. Il est certain que les convulsions de la possession auront quelque apparence similaire aux convulsions du mal de l'épilepsie.

Pourtant,près des convulsions, une nouvelle identité. Quelque malade peut avoir les deux pathologies (épilepsie et un simple désordre de la personnalité), mais il n'est pas possible que les deux se manifestent au même temps. La phase convulsive de l'épilepsie enlève la consience qui donne la capacité de pouvoir soutenir ces dialogues. 

Finalement, j'ai voulu laisser clair tout celà, puisque tout le monde pense qu'au Moyen Âge on confondait épilepsie avec possession.Affirmer ça démontre une parfaite ignorance du thème, parce que l'épilepsie est parfaitement déterminée par ses symptômes depuis l'époque classique. Au Moyen âge on a distingué l'épilepsie et la possession, par des raisons avant soulignées.

Il y a de nouvelles lignes d'investigation sur l'existence ou non du syndrome démonopathique de la double personnalité. Nous pouvons discuter jusqu'à l'infini, mais il existe une ligne d'investigation qui prouverait d'une manière objective la raisonnabilité de sa catalogation de pathologie spécifique. La méthode doit rencontres un cas qui au jugement des spécialistes éclésiastiques, recevra clairment la qualification de possession. La possession sera analysée par un équipe de psychiatres et elle sera envoyée au prêtre. Il faut analyser le cas avant, pendant et après l'exorcisme. On pourra voir si la guérison est transitoire ou définitive. Il en faudra ajouter que, le cas qui a été remis à l'autorité écclésiastique, devra être traité dans le temps par des moyens exclusivement psychiatriques, pour observer l'évolution de la pathologie pendant un long période avant l'exorcisme. C'est-à-dire, devra être un cas dans lequel on aura déjà tenté tout type de thérapies. En outre, un cas non contaminé par aucune intrusion extrapsychiatrique et les psychiatres enverront à l'équipe écclésiastique.

Un cas de cette façon prouvera la véracité des affirmations théologiques et pschyatriques sur la singularité du syndrome avant décrit. Les deux parts devront être d'accord. Quelquefois, les théologiens disent qu'il n'y a pas de possession dans quelques cas. D'autres fois, les psychiatres disent qu'il n'y a aucune pathologie. Le cas à étudier devra être un cas où les deux équipes seront d'accord: les uns peuvent affirmer qu'il est dissociation et les autres ( sur la même personne), qu'il est possession. Les résultats de l'étude de ce cas, suposeraient la résolution, non seulement sur le thème de la catalogation coome pathologie sui generis, mais aussi sur son éthiologie, évolution et thérapies à suivre au futur. Si un seul cas offre une lumière très révélatrice, cette méthode s'étend à dix ou vingt cas. Les résultats offriront une lumière révélatrice et incontestable.

J'ai l'espérance que la publication de ce travail puisse supposer l'apparition de cas traités pendant des années, et qu'ils s'accordent aux crytères diagnostiques donnés avant, et dont les médecins soient disposés à initier cette nouvelle ligne d'investigation. Je suis consciennt que beaucoup d'équipes psychiatriques de facultés de médecine ne voudront pas commencer cette investigation puis qu'ils pensent que la possession n'existe pas non plus. S'il néxiste pas, nous devons prouver d'une manière incontestable qu'il n'existe pas. Si l'investigation prouve définitivement la fausseté des postulats exposés dans ce travail, la science aurait déjà donné un pas. Une investigation serait le seul moyen de prouver définitivement, avec toutes les garanties de la science psychiatrique, la fausseté des postulats qu'ici j'ai posé.

Finalement, j'ai la confiance que les prochains décennies apporteront la lumière de la science, objective et evaluable dans une matière spécialement difficile.